A la recherche de mon Ikigaï…

Retour à la réalité : je rentre d’une semaine de rêve à l’île Maurice… Au programme de ma semaine de vacances : rien. Et c’est bien ce que je voulais. Pas d’horaire (les rendez-vous au spa pour se faire chouchouter ça compte pas, on est d’accord ;-)), de contrainte, de corvée… The dream !

Sauf que… ben oui sinon pas de sujet à débat. Sauf que, j’ai la fâcheuse tendance à faire de l’introspection quand mon esprit est libre.

En plus, j’avais dans ma valise le livre de Christie VANBREMEERSCH, « Trouver son IKIGAÏ : Vivre de ce qui vous passionne ». Alors forcément, ça me fait réfléchir. L’ikigaï, pour faire court, c’est un concept japonais signifiant « joie de vivre », « raison d’être ». Plus en détails, c’est la jonction entre ce en quoi vous êtes doué, ce qui peut vous faire vivre financièrement, ce que vous aimez faire et ce dont le monde a besoin.

Si vous faites une recherche Google (ou Ecosia, hein, c’est mieux ça plante des arbres), vous trouverez une multitude de méthodes pour vous aider à le trouver, votre Ikigaï. Au moment où je vous écris, je n’ai suivi aucune de ces méthodes et je ne l’ai pas encore trouvé.

Malheureusement, je ne fais pas partie de ceux qui ont une vocation. J’ai fait des études généralistes, parce que je ne savais pas ce que je voulais faire. Et je me rends compte que je ne le sais toujours pas…

Aujourd’hui, mon activité professionnelle (activité dans le secteur tertiaire) me permet de vivre bien, me procure de la satisfaction en général, car elle est riche en relations humaines. Savoir si je suis douée à le faire : aucune idée précise, car cela ne nécessite pas de talent tangible. Quant au fait que le monde en ait besoin, ouille ouille ouille, pas sûr du tout ! Bref, vous l’aurez compris, je ne vis pas de ce qui me passionne.

La lecture du livre cité plus haut, m’amène à me poser des questions sur moi-même, sur ma vision du monde et le rôle que j’ai à y jouer. Je n’ai pas encore terminé le livre, mais je me dis qu’il y aura un Avant et un Après. L’auteur nous propose des exercices pratiques du type : écrire ce que vous aimez faire, savoir ce qui vous met en colère, de quelle personne vous êtes jaloux et pourquoi, quelle est votre zone de brillance… Répondre à ces questions, ferait émerger des idées d’activités. Trouver son Ikigaï serait, surtout faire attention aux signes, tirer des enseignements de ce qui nous arrive au quotidien, être à l’écoute des autres et de soi-même pour trouver l’idée qui nous fera vibrer et pourra apporter quelque chose au monde.

« Le sens de la vie est de trouver votre don. Le but de la vie est de le partager. »

William Shakespeare

J’espère que reprendre le boulot lundi ne me fera pas perdre de vue ce que je cherche.

Et vous ? Avez-vous trouvé votre Ikigaï ?

Illustration issue de "Touver son Ikigaï" de Christie VANBREMEERSCH, éditions FIRST

3 commentaires sur “A la recherche de mon Ikigaï…

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  1. Merci Sablotine de nous ramener à l’essentiel avec ce joli shéma et cet article. J’espère que tu vas trouver ce que tu cherches. Tu donnes déjà beaucoup… c’est un premier signe, non? Bonne recherche.

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